à Vilhac-Engauly |
Il perd sa soeur Marie Sémiramis âgée de 11 ans |
Il est engagé volontaire comme Soldat de 2ème classe. Il a 18 ans |
Il est nommé Caporal |
Il est nommé Caporal fourrier |
Il est au 10ème Régiment d'Infanterie de Marine |
Il est nommé Sergent |
Il est au 1er Régiment d'Infanterie de Marine Durant le 1er semestre de l'année il est en Convalescence |
Il est détaché au Bataillon de Paris où il remplit les fonctions de Vaguemestre au fort de Rosny-sous Bois, au Service des Postes et Télégraphes |
Il est nommé Sergent major |
Son état de santé est très affaibli. Il souffre de plusieurs violents accès de fièvre |
Il quitte M'Pal pour se rendre à Saint-Louis à l'effet de s'y embarquer à destination de la France |
Au lazaret de Dakar. Mort du Commandant GANIER, terrassé en quelques heures par la fièvre jaune |
Il est payé de sa solde à Saint-Louis-du-Sénégal |
Il est embarqué à Saint-Louis-du-Sénégal pour la France |
Il est au 21ème Régiment d'Infanterie Coloniale |
Médaille coloniale d'Afrique Occidentale Française |
d'une affection gastropéritonéale, à Kerlaër. Son corps est transporté par chemin de fer, dans un cercueil plombé, de Brest à Berre. |
au cimetière N.D. de Cadoret |
Il est détaché au Bataillon du Sénégal pour 3 ans et demi |
Il est au 14ème Régiment d'Infanterie de Marine |
et à Saint-Laurent-du-Maroni, chez ses parents |
Il remplit pendant 9 mois les fonctions de Gérant d'annexe du Magasin Central de Lam, arrondissement de Dap Cau, en Indochine |
à la Lice de la Mer, chez sa mère avec sa soeur Charlotte Mathilde et son frère Hippolyte Edmond |
Il est à la Base militaire de l'Ile d'Ouessant |
Il est à la Batterie militaire de Kerlaër, près de Brest, dans la presqu'île de Crozon |
Il est en Congé au 2ème Régiment de Garnison |
dans la Grande Rue, chez sa mère avec Mathilde et Hippolyte |
Il est employé à la Maison d'Expédition "Huiles & Savons M.VERDIER" |
Il est pensionnaire à l'Ecole Professionnelle Fabre |
Rue des Arts, chez ses parents |
au Plan de la Cour, chez ses parents |
à Vilhac-Cazalet |
à Saint-Martial d'Aiguillanes |
à Vilhac-Cazalet |
à Vilhac-Cazalet. Frère jumeau de Marie |
à Saint-Martial d'Aiguillanes |
En fait il naît le 5 décembre 1883 en mer, sur le bateau qui ramène de Guyane sa mère accompagnée de ses 3 enfants et sera déclaré à Berre quelques jours après |
Il perd sa soeur Marie Sémiramis âgée de 11 ans. |
Certificat d'Etudes Primaires |
Il est élève à l'Ecole Publique de Garçons (1ère classe, 1ère division) où il obtient un 1er prix de dessin. |
Il entre comme enfant de troupe à l'Ecole Militaire Préparatoire d'Infanterie. Il a 13 ans. |
Brevet de prévôt d'escrime à l'Ecole Militaire Préparatoire d'Infanterie de Saint-Hippolyte-du-Fort (Commission d'examen de Nîmes) |
Certificat d'Instruction Militaire Théorique et Pratique (mention très bien) à l'Ecole Militaire Préparatoire d'Infanterie de Saint-Hippolyte-du-Fort |
Il est engagé volontaire pour 5 ans au 55ème R.I. (Régiment d'Infanterie) comme soldat de 2ème classe. Il a 18 ans. |
Il est nommé Caporal (15ème Compagnie) |
Il perd son frère Gaston âgé de 30 ans décédé à Roscanvel, près de Brest |
Il est nommé Sergent (15ème Compagnie) |
Il entre à l'Ecole Normale de Gymnastique et d'Escrime |
Il est nommé Moniteur d'Education Physique à l'Ecole Normale de Gymnastique et d'Escrime |
Il est cité au Journal Officiel de la République Française : Prix Unique d'Ensemble (médaille d'argent) à l'Ecole Normale de Gymnastique et d'Escrime Diplôme d'Education Physique Diplôme de Moniteur d'Education Physique |
Il est rendu au 55ème R.I. sur sa demande "pour raison de famille" |
lI participe à une manifestation de l'Union des Sociétés de Gymnastique de France (49ème) |
Il est nommé Adjudant au 55ème R.I. (1ère Compagnie) |
Le 55ème R.I. est appelé "Aux armées". Campagnes contre l'Allemagne |
Combats sous Dieuze |
Il est blessé pour la 1ère fois, à la main gauche par des éclats d'obus mais n'est pas évacué |
Il est nommé Sous-Lieutenant à T.T. |
Il est blessé pour la 2ème fois, au pied droit par des éclats d'obus dans le Bois de Montfaucon. "19 septembre 1914. Le boulet arrive. Le riz dégringole. Mon départ." Carnet de marche d'Hippolyte Carbonneau. |
Il est évacué sur l'Hôpital Sévigné |
Il est évacué de l'Hôpital Sévigné de Dijon sur l'Hôpital de Pont-Saint-Esprit |
Il est au dépôt du 55ème R.I. |
Il passe au 415ème Régiment de Marche |
Il est nommé Lieutenant à T.T. |
Il est blessé pour la 3ème fois, à la jambe droite et à la tête par des éclats d'obus à Saint-Rémi-en Champagne. "25 septembre 1915. A 8h,30 attaque. Ligne de Section par 2. Calme absolu. En avant sur la passerelle. Tir de barrage. "C'est nous les poilus etc". Cadours, membres, crâne, sang. En avant toujours. Section et Compagnie admirables. En avant ferme. Tir de barrage intense. Touché. Relevé par Pucrant et le Tambour. Poste de secours." Carnet de marche d'Hippolyte Carbonneau |
Il est cité à l'Ordre du 14ème Corps d'Armée n°103 "A entraîné sa section à l'assaut des tranchées allemandes le 25 septembre 1915 avec un grand courage et un superbe entrain. A été blessé - déjà blessé deux fois au début de la campagne" Le Général Cdt le 14ème Corps d'Armée Signé : Barret |
Il est au dépôt commun des 141ème et 415ème R.I. |
Il est nommé Sous-Lieutenant à T.D. |
Il passe au 146ème R.I. |
Il est nommé Lieutenant à T.D. |
Il est hospitalisé (Oreillons et furoncles) |
Son beau-frère Marcel EMMANUELLI, époux de sa soeur Charlotte Mathilde, est tué à ses côtés au nord-ouest de Compiègne |
Il est évacué et opéré à l'Hôpital |
Il est blessé pour la 4ème fois, au thorax et sous la clavicule gauche par des éclats d'obus, à la côte 204-Courteau |
Il est cité à l'Ordre de la 29ème Division d'Infanterie n° 24.182 9 "Commandant la Compagnie plein de courage et d'entrain s'est particulièrement fait remarquer à l'attaque du 6 Juillet 1918. Blessé à la tête de son unité au moment où dans un élan splendide, il l'enlevait à l'assaut des organisations ennemies" Au Quartier Général le 18 Juillet 1918 Signé : Bougin |
On annonce la signature de l'Armistice entre les Alliés et l'Allemagne |
Il est nommé Chef de Section Subdivisionnaire d'I.E.P. (Instruction et Education Physique), Subdivision de Toulon |
Il se lie d'amitié avec le commandant Louis BORRELY, officier de marine, comme lui ancien enfant de troupe et passionné d'escrime |
Il est Membre d'Honneur de "Pro Patria" (société de gymnastique...) |
Chevalier de la Légion d'Honneur (141ème Régiment d'Infanterie) |
Médaille Commémorative (Loi 23/06/1920) |
Statue PAX-GLORIA. "Les Sociétés Sportives d'Education Physique et de Tir reconnaissantes au Lieutenant E. Carbonneau" |
"A son Président d'Honneur, Mr le Lieutenant Carbonneau, l'hommage de sa vive gratitude, de sa profonde reconnaissance & de son entière cordialité" "La Renaissance Mourillonnaise" |
Peu après une chute d'un cheval d'arçon lors d'exercices au gymnase de la caserne, il reste paralysé par un blocage lombaire dans son jardin. Une crise de rhumatisme immobilise sa jambe gauche. |
Il est nommé Capitaine détaché à l'Instruction Physique, maintenu au 141ème R.I. |
Récompense Honorifique de la Mutualité, en tant que trésorier de section à Toulon |
Il obtient une Pension temporaire d'Invalidité |
Médaille de la Marne |
Croix de Guerre |
Il est l'objet d'un Décret de non activité pour Invalidité temporaire |
Médaille Interalliée dite de la Victoire (Loi 06/05/1923) |
Arrivé à Ventabren invalide et se déplaçant avec des béquilles, il se rééduque seul en montant chaque jour, du village sur le plateau, et parviendra à marcher de nouveau. |
Après décision du Centre de Réforme du 10/10/1924 , il bénéficie de Pensions d'Ancienneté et d'Invalidité |
Il se consacre à des activités sociales en collaboration avec M. DEVAUX, le maire de la commune : création de la Coopérative Vinicole, d'une Mutuelle "La Prévoyance Fraternelle" pour les habitants de Ventabren et de Coudoux, organisation avec son épouse de Fêtes des Ecoles en 1927, de représentations de pièces de théâtre dont "Les Deux Timides" de Labiche, "La Pastorale" Maurel en 1928... Il donne des soins à domicile aux malades : pansements, piqûres... |
Croix de Combattant de la Grande Guerre (Décret 24/08/1930) |
Carte de Combattant |
Médaille de Verdun. "On ne passe pas" |
Il perd son ami le Commandant Louis BORRELY qui ne supportera pas le sabordage de la Flotte française le 27/11/1942 à Toulon |
d'une crise cardiaque foudroyante, à "Parmi les Pins" |
au Cimetière du plateau de Ventabren. Ses restes et ceux de son épouse seront transférés le 22/02/2001 au Cimetière St Pierre d' Aix ( tombeau 1911) |
au Plan de la Cour, chez ses parents |
dans la Grande Rue, chez sa mère avec son frère Gaston et sa soeur Mathilde |
chez sa mère, avec son frère Gaston et sa soeur Mathilde |
Il participe à la bataille de la Marne (est de Nancy et Lunéville, sud et ouest de Verdun). |
Il participe aux Combats de la Somme, à l'est d'Amiens |
Il est évacué à l'Hôpital Magne |
Il participe aux Combats de Lorraine |
Il se bat en Meurthe-et-Moselle, à l'ouest de Nancy |
Il est hospitalisé (Otite, céphalés, troubles gastro-intestinaux, furoncles des testicules) |
Il est hospitalisé |
Souffrant d'une fêlure du fémur et d'une "arthrite ou carie sèche coxo-fémorale gauche", consécutives à sa chute du cheval d'arçon et à ses blessures de guerre, il est hospitalisé à l'Hôpital Militaire Sainte-Anne et restera immobilisé pendant 2 ans, dans une grande gouttière de plâtre (modèle coxalgie). Un soldat veillera sur lui jour et nuit pour l'empêcher de se jeter de la fenêtre de sa chambre. Pendant cette longue immobilisation, étendu sur le dos, il confectionnera au point de croix de grandes tapisseries qui seront encadrées et conservées avec vénération par sa famille. ( Un médecin civil consulté estimait qu'un plâtrage ne s'imposait pas et qu'une immobilisation suffisait mais, en tant que militaire, le malade ne s'appartenait pas...) |
Il est Stagiaire au C.R.I.P. |
Il est Stagiaire au C.R.I.P. |
Il est en Congé de Convalescence |
Il participe aux Combats Flandres-Champagne |
Il est en permission |
Il est au 141ème R.I. et participe aux Combats de Lorraine-Woëvre |
Il est en Congé de Convalescence |
Il participe aux Combats de Champagne, dans la région des Hurlus (est de Reims) |
Il est en Congé de Convalescence |
Il participe au Combat de Montfaucon-Avocourt (ouest de Verdun) |
Il participe aux Affaires de Vitrimont devant Lunéville |
Il est Chargé de l'Instruction Physique à la Société Scolaire de Préparation Militaire de l'Ecole Nationale des Arts et Métiers d'Aix |
1 Cours Gambetta (2ème étage) chez sa mère, jusqu'à son mariage |
11 bis Boulevard Zola (2ème étage), chez sa mère |
7 Rue Littera, chez sa mère, avec sa soeur Mathilde |
à la Lice de la Mer, chez sa mère avec son frère Gaston et sa soeur Mathilde |
Rue des Arts, chez ses parents |
6 Traverse Gontard |
Villa "Soleilla", aux Carmélites, Traverse du Gallet Cantant |
Avenue Claret, à "La Baptistine", propriété du Commandant SCIAS, une grande bastide du XVIIIème siècle située au nord de la ville et disparue par la suite. A son emplacement il ne subsiste plus en 2000 qu'une "Impasse de la Baptistine" qui conduit à des constructions récentes... |
La famille va quitter Toulon, Hippolyte ne pouvant plus exercer son activité pour raison de santé et Marie Rose ayant obtenu le poste de Receveuse de la Poste de Ventabren |
Ils habitent au village, successivement dans deux Bureaux de Poste , Rue de La Libération (logement insalubre et humide...) puis Montée du Cimetière. |
Ils s'engagent sous seing privé à acheter à la famille RICARD-DEVAUX un terrain situé au chemin des Espaillards |
Ils achètent, au chemin des Espaillards, un terrain sur lequel ils font construire la maison de "Parmi les Pins" par Clément ROSTAGNI. |
à "Parmi les Pins", chemin des Espaillards, avec leur fils Francis et son épouse Simone qui exploitent la propriété. Leur n° de téléphone est le "10 à Ventabren" car 9 personnes seulement étaient alors abonnées avant eux sur la commune de Ventabren-Coudoux ! |
Ils font construire à "Parmi les Pins" la "chambre de grand-mère" où ils hébergeront la mère de Marie Rose, Jeanne MONDONE, qui y décèdera en 1943. |
Ils achètent un terrain contigu au leur, à l'ouest de "Parmi les Pins", terrain que le commandant BORRELY a acquis en 1932 |
Leur petite-fille Colette naît à "Parmi les Pins" |
Ces pages ont été créées par Oxy-gen version 1.37, le 26/10/2013.